On ne vous présente plus Linkin Park. Groupe de rock alternatif et néo-métal Californien, emmené par Chester Bennington (chant), et composé de Mike Shinoda (chant, rap, guitare et claviers), Brad Delson (guitare), Dave Farrell (basse), Rob Bourdon (batterie) et Joe Hahn (platines, effets et mixage).
C’est devenu maintenant une institution, on attend le nouvel album et l’on critique, ou non. « Il est mieux que celui d’avant », « C’est devenu commercial », « moi, je préférais quand … », etc, etc.
Chester a affirmé que cet album serait : « du point de vue lyrique très sérieux avec une approche plus directe de la politique, la religion, et d’autres sujets à forte controverse ». Il nous a aussi dit « qu’ils avaient appris à écrire sur ces choses-là et qu’ils s’attendent d’ailleurs à des réactions très vives et contrastées ».
Donc le voilà cet album, et votre serviteur vous dit simplement « préécoutez-le ! ». Et suivant votre sensibilité achetez les titres qui vous plaisent sachant que les morceaux sont si différents que le tout n’est pas homogène et que suivant les facettes de Linkin Park que vous aimez votre réaction sera différente, on n’aborde pas un « Until it breaks » comme un « In my remains » ou encore comme un « Skin to bone ». Je vous propose ici « In my remains » , deuxième morceau de la tracklist qui est pour moi le morceau le plus enchanteur à mes oreilles car suivant pour moi une structure musicale qui correspond vraiment au groupe et à son histoire musicale.