Houlà ! Comme le temps passe vite en vacances, heureusement que le compère Zistor part moins longtemps que moi loin d’un poste informatique et qu’il vous distille régulierement ses posts musicaux estivaux. Le souci c’est que là je touche enfin un ordinateur tranquillement, qu’il fonctionne, mais que dans quelques heures je serai de nouveau par monts et par vaux au milieu de nulle part pour les quelques jours d’aout qu’il me reste à déguster.
Ceci dit, j’avais quand même dans ma besace une petite découverte que je traine depuis un bout de temps, Luna Rosa ! Comment vous dire, « le batteur est le neveu de la femme d’un copain qui … etc … », c’est peut être vrai (ou pas) mais en tout cas c’est vraiment une découverte de terrain comme on dit. Alors d’où ils sortent ceux là ? Et bien de leur propre aveu, d’une petite ville très banale où il ne se passe pratiquement rien (Corby, Northamptonshire), influencé par The Libertines, The Strokes, The Cribs mais aussi par la musique écoutée par leurs parents et amis de la génération précédente. Ils ont grandi, bercés par la musique des groupes du début des années 2000, nourris à la guitare. Leur ambition, comme tous les groupes qui se forment à la fin de l’adolescence, pouvoir vivre de leur musique plutot que d’aller taffer à l’usine.
Quoiqu’il en soit, Rory McDade (guitare & voix), Darren Myles (guitare), Keiran Maguire (basse), et Cole O’Neill (batterie) nous distillent une musique plus qu’interessante décrite par les interessés comme « Indie/Alternative/Psyche, with hints of Rock ‘n’ Roll and Soul ». Bref ils ont gagné leur place dans la playlist de The Musical Box adoubé par Vanke.
2015 pour eux c’est, « trois nouveaux titres, un E.P., 2 vidéos, des concerts à travers le pays et quelques festivals et peut être se faire couper les cheveux »
Propos extrait de l’interview de Luna Rosa publiée par « We Close Tonight » ici.