Ca y est, on l’attendait depuis juin 2013, les Desperate Journalist sortent enfin leur premier album. Détecté donc en 2013 (il y avait eu une brève dans les Inrocks à l’époque) mais resté dans nos cartons depuis, voici donc le premier bébé de ce groupe qui sonnera à vos oreilles comme The Au-Pairs, ou encore comme The Passions (ça fera plaisir à Zistor).
Ce combo originaire du nord de Londres, composé deux deux filles (Jo Bovan au chant, Caz Hellbent à la batterie) et deux garçons (Rob Hardy à la guitare , Simon Drowner à la basse), est en accord musical avec leur look et leurs références plutot gothiques de la grande époque 80’s (de Joy Division à Siouxie en passant par les Cures et les Smiths).
A l’écoute de cet album, j’ai eu l’impression de me replonger dans ma période où deux groupes ne quittaient jamais mes platines, il s’agissait de All About Eve et de The Heart Throbs. Avec Desperate Journalist on a un mix revival de grande qualité remuant une tonne de nostalgie et en même temps apportant un nouveau souffle à ce genre musical. Surtout allez au bout de cet album, on ne descend pas en marche d’un express avant qu’il soit en gare !
Quatre belles éoiles de la part de Vanke (ça vaut ce que ça vaut) pour cet album.
Et pour les amateurs une belle interview du groupe : Desperate Journalist: “I write about painful situations from the past, taking control of them turning them into quite powerful statements”
Et on n’oublie pas les références, ça évite de courir après sur YouTube.