Une belle histoire de rencontre à l’origine de ce quintet Américain.
Un couple de New Yorkais (Hannah Hooper, peintre et chanteuse et Christian Zucconi, guitariste et chanteur) part convoler en Grèce, plus exactement en Crête, pour un séjour dans un camp de vacances artistiques . Ils rencontrent là bas deux Californiens, Bryan Rabin un batteur (fils de Trevor Rabin de Yes) et Andrew Wessen, guitariste. Se joint à la petite troupe un Anglais, Sean Gadd, bassiste.
Tout le monde sympathise et promet de se retrouver à leur retour à la maison. Et incroyable ! Ils tiennent parole ! Leur lien amical est très fort et ils enchainent à une vitesse supersonique un E.P enregistré à Los Angeles dans le studio de Bryan, une prestation remarquée au festival South By Southwest, la première partie de Florence & the Machine. Puis un deuxième E.P en juin 2011, et les voilà parachutés dans les grands festivals de l’été (Lolapazoola, Reading, Rock en Scène).
Ils pratiquent un rock indie de facture classique, guitares en avant, avec un peu de revival grunge. Les influences oscillent entre les Pixies et Arcade Fire, avec une pointe de Modest Mouse. La particularité du groupe(love) est l’absence de leader : tout le monde apporte sa signature sur les chansons. Leurs concerts sont festifs, démonstratifs et sans prétention.
Ils respirent la joie de vivre et l’euphorie , et pourtant leur album sorti en septembre 2011 s’intitule « Never trust a happy song ».
« Lovely cup » est le deuxième single et vient de sortir. C’est un tube en or massif.