Je ne sais pas si cela vous est déjà arrivé de venir voir un concert et de découvrir en première partie un groupe dont vous n’aviez jamais entendu parlé (et oui on ne peut pas etre à l’écoute de tout, tout le temps) et qui vous bouleverse. Enfin jamais entendu parlé c’est vite dit puisque Wayne Hussey sur le FaceBook de The Mission en avait un jour glissé quelques mots plutôt gentils.
Donc quoi de plus naturel que de retrouver ce groupe sur la tournée du dit bonhomme en ce printemps 2016. C’était du grand art, ce set de première partie je l’ai revu et réécouté cinq fois, dans chacune des villes traversées, sur chaque scène, dans des lieux et avec des ambiances différentes (centre culturel, arrière salle de pub, vrai salle de concert) et chaque soir je suis resté comme hypnotisé par ce groupe (duo) entrant complètement dans leur univers musical.
Leur univers musical justement, c’est encore eux qui en parlent le mieux et comme je vous sais à l’aise avec la langue de Shakespeare vous rappelant facilement vos jeunes années d’étude je vous livre ces quelques mots en vo
– » EVI VINE WRITES BEAUTIFUL AND PAINFUL SONGS. INSPIRED BY A DEEP CONNECTION AND LOVE OF THE NATURAL WORLD, THIS RECORD IS AN EXPLORATION OF DEEP, DARK SUFFERING AND INTENSE COMPASSION AWAKENING. TOGETHER WITH STEVEN HILL THEY CREATE A UNIQUE AND UNCOMPROMISING ATMOSPHERE, THE EFFECT IS REVERENTIAL, PHYSICAL MUSIC THAT EVOKES A RARE EXPERIENCE … » –
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, voici un petit bonus en direct (ou presque) du Whitby Goth Weekend spring 2016